Être agent immobilier au Maroc a toujours été chose facile dans la mesure où il n’y avait rien de contrôlé ou presque et, qu’ainsi, à peu près n’importe qui pouvait avoir accès au métier. Cependant, les choses tendent à changer et les autorités, en accord avec les professionnels de l’immobilier, ont constitué une association : l’Association Marocain des Agents Immobiliers (AMAI) afin de rendre le secteur plus uniforme comme le précise le site immobilier Bouches du Rhone Les Clés du Midi. Cependant, à ce jour, seul 25 des 300 agents immobiliers présents sur le sol marocain font partie de l’AMAI. D’ici quelques mois va sortir une loi qui aura pour but de réglementer la profession sur l’ensemble du territoire. Cette loi stipulera, entre autre, des réglementations quant à la transparence entre l’agent et le client, quant aux mandats et contrats mais aussi par rapport aux commissions appliquées ou encore quant à la création d’une charte déontologique nécessaire. Une fois cette loi mis en œuvre, il ne restera plus qu’à la faire appliquer partout afin d’éradiquer toutes les pratiques douteuses voir illégales.
S’intégrer face à la concurrence des autres agents immobiliers marocains
Maintenant, si vous êtes nouveau sur le secteur, il va falloir s’accrocher. Constituez-vous un réseau de contact à partir de vos connaissances, d’amis de vos amis… ou entrez même en contact avec d’autres agences afin de savoir un peu comment tout cela fonctionne au Maroc. Si vous étiez agent immobilier en France à la base, ne soyez pas surpris par les différences, surtout question législation. Il est vrai que pour le coup, en France, tout est beaucoup plus réglé, comme par exemple les conditions d’accès à la profession (niveau d’étude et années d’expérience) ou encore le fait qu’il faille une carte professionnelle afin de pouvoir exercer… Les garanties financières non plus ne sont pas les mêmes qu’en France…